Encore une fois, cette année, mobilisons-nous pour sensibiliser ensemble !
Le deuil périnatal est une des pires souffrances, et pourtant elle est totalement invisible. Les parents désenfantés, ou paranges, ont besoin de nous.
Ils ont besoin de CONSIDERATION, d’EMPATHIE, d’ESPACE de PAROLE, d’ACCOMPAGNEMENT. Et ce, sur le long terme. Pas seulement les premiers temps.
J’envoie mes plus douces pensĂ©es Ă tous ceux qui ont perdu un enfant. Vous comptez, votre douleur compte. Vous mĂ©ritez notre attention.
A tous les petits anges dont j’ai croisĂ© la route des parents, et dont je connais le prĂ©nom : Gabrielle, EzĂ©chiel, Ella…. âïžâïžâïž